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Festival "Les Arts J'entends" : Spectacle "Les sapeurs sanglés" - absurde, clownesque

Festival généraliste, Spectacle

ARGENTAN 61200

Le 14/07/2021

Les trois sapeurs sanglés, poussant eux-mêmes leur grande échelle, arrivent sur le site, sirène et gyrophare aidant. Ils délimitent leur zone d’intervention et placent les badauds. Après une brève démonstration de leurs capacités, ils recrutent, suivant des critères qui leurs sont propres, six échantillons représentatifs de la population. Commence alors la formation de ces volontaires : physique, technique, psychologique...

photo Denize

Denize

Festival généraliste, Musique

LONGNY LES VILLAGES 61290

Le 11/03/2022

Une brise, Denize ? Non. La musique de la Havraise, formée au classique, est un maelstrom sensoriel et émotionnel, une collision d’airs sublimes et d’ouragans colériques, de bises glaciales et d’alizés élyséens, de bourrasques sentimentales et de coups de tabac intimes. Quelque part entre Radiohead et Émilie Simon, entre Danny Elfman et Agnes Obel, nourris par l’écoute de Nick Cave ou de Mark Lanegan, de Suuns ou de Camille, de Murat ou de Barbara, nourris également par la danse et son expérience d’écriture pour le théâtre, les morceaux de son premier EP Aube sont des merveilles dédaléennes et intrépides, arrangées avec une grâce et une maturité infinies, chantées d’une voix de sirène à faire fondre la pierre, habitées de clairs et d’obscurs aux contrastes éblouissants. Après deux années de concerts en groupe -en duo, ou en trio, tantôt électro, tantôt accompagnée de violoncellistes- c’est en solo que Pauline Denize vient désormais partager son univers.  Après la sortie de son deuxième EP Revoir la mer  elle fait aujourd'hui le choix de revenir à des sonorités plus organiques (tels que le violon, le piano ou la guitare) pour toucher du doigt l’essence même de l’émotion[...]

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Denize

Longny les Villages 61290

Le 11/03/2022

Une brise, Denize ? Non. La musique de la Havraise, formée au classique, est un maelstrom sensoriel et émotionnel, une collision d’airs sublimes et d’ouragans colériques, de bises glaciales et d’alizés élyséens, de bourrasques sentimentales et de coups de tabac intimes. Quelque part entre Radiohead et Émilie Simon, entre Danny Elfman et Agnes Obel, nourris par l’écoute de Nick Cave ou de Mark Lanegan, de Suuns ou de Camille, de Murat ou de Barbara, nourris également par la danse et son expérience d’écriture pour le théâtre, les morceaux de son premier EP Aube sont des merveilles dédaléennes et intrépides, arrangées avec une grâce et une maturité infinies, chantées d’une voix de sirène à faire fondre la pierre, habitées de clairs et d’obscurs aux contrastes éblouissants. Après deux années de concerts en groupe -en duo, ou en trio, tantôt électro, tantôt accompagnée de violoncellistes- c’est en solo que Pauline Denize vient désormais partager son univers.  Après la sortie de son deuxième EP Revoir la mer  elle fait aujourd'hui le choix de revenir à des sonorités plus organiques (tels que le violon, le piano ou la guitare) pour toucher du doigt l’essence même de l’émotion[...]